Le moine qui faisait des pets

Il y a quelque jours, je me suis occupé de mes plantes, principalement des phalaenopsis. Tout à coup, je sens une effluve nauséabonde, et je demande à ma compagne, seule personne présente dans la pièce, si elle avait pété. Elle répond par la négative. Si ce n’est pas moi, et ce n’est pas elle, quelqu’un d’autre a pété. Une demie-heure plus tard, par une sorte de flash intuitif, je capte l’info: c’est une entité, donc une partie d’un être désincarné et toujours présent au niveau du plan vibratoire qui est le nôtre, qui se trouve importunée par le fait que j’arrose mes plantes. Bizarre , pour plusieurs aspects d’ailleurs.

Nous avons tous appris que pour que notre cerveau puisse reconnaître une odeur, les organes sensoriels du nez captent d’infimes quantités de substances odorantes. En d’autres mots, l’odorat est un sens physique. Or, comment une entité désincarné pourrait-elle produire des substances puantes du monde physique ? Cela bouscule sérieusement nos conceptions du monde physique et subtil.

Ma compagne et moi avons tous les deux perçus l’odeur de pet, juste pas au même instant. Existe-t-il des odeurs immatérielles, des odeurs qui existent sur les plans subtils et non physiques, qu’un bon nez pourrait ressentir ? Padre Pio, un moine capucin et prêtre, vénéré encore aujourd’hui et mort en 1968, était connu pour ses manifestations par des parfums divers, de son vivant et aussi après sa mort. Où se situe la limite entre une odeur physique et une odeur subtile? Mais l’odeur du pet était là, j’ai un bon nez mais pas au point de pouvoir distinguer des millésimes rien qu’au nez.
Récemment, nous étions plusieurs à faire une expérience avec l’eau du robinet chloré près de Narbonne, au bord de la mer. Elle nous avait été servie dans une belle carafe, mais imbuvable. L’idée nous est venu de modifier l’information de cette eau, de lui demander de se souvenir de quand elle était arrivée, tout en haut de la montagne, entre neige et eau pour rejoindre la pleine dans un petit ruisseau entre rochers et prés. Nous l’avons aussi réinformé avec l’amour et la gratitude (cf. travaux de M. Emoto) : le résultat était stupéfiant. L’odeur de chlore avait complètement disparu.

dle moine qui pete

Mais revenons é cette entité, en fait, il ressemblait à un moine, qui pétait alors que j’arrose mes plantes. Qu’est-ce qu’une entité. J’aborde ce sujet en détail dans mon ebook sorti tout frais de l’imprimerie: « Extrasensibles, hypersensibles, se protéger efficacement », disponible sur https://lesextrasensibles.com/boutique/
Lorsqu’une personne décède, sa psyché se fragmente en une multitude de morceaux, la majorité d’entre elles se dissolvent naturellement, d’autres parties continues à vouloir exister dans la vibration qui est aussi la nôtre. La non-dissolution d’une entité relève d’une logique implacable: que doit-elle continuer de faire, continuer de veiller à, chercher à réaliser, à obtenir, etc. Le moine qui faisait des pets, comme j’ai pu le comprendre en branchant sur lui, devait continuer de prendre soin de ses plantes, c’était son jardin des aromatiques et il ne voulait pas que quelqu’un d’autre le fasse à sa place.
C’est ainsi qu’il considérait mes plantes comme étant les siennes, et lorsque je m’en occupais pour les arroser, l’entité moine se trouvait dans un état contrarié. Voilà pourquoi il m’avait pété à la figure quand j’ai arrosé mes phalaenopsis. Et bien, il ne le fera plus, car j’ai permis à l’entité de terminer son processus de dissolution. J’explique la procédure dans le ebook mentionné plus haut.

J’aurais pu intituler cet article autrement, comme « est-ce qu’un pet immatériel, ça existe vraiment » ou « quelle est la limite entre ce que nous voyons avec nos yeux et une vision ».
Avez vous déjà vécu des phénomènes de surimpression ? Je me rappelle parfaitement d’une d’entre elles: c’était en 2007, sur le grand champ de blé, couvert d’un immense crop circle, à Chalet d’à Gobet au dessus de Lausanne (CH). Ma vision était totalement chamanique, le champ s’est transformé en une pleine où se manifestaient des animaux du monde amérindien. En bordure du champ, je pouvais percevoir la présence des loups. Vrai au faux? Pour moi, la pleine du Dakota était aussi réelle que le pet de moine. Mais où est la limite entre la vision et le délire (sujet abordé dans un autre article: https://lesextrasensoriels.com/realite-ou-hallucinations/=) , entre le nez et l’obsession ?

A vos plumes, et merci pour vos commentaires et vos propres expériences

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